Arbre généalogiqueArbre généalogique.
Description : augmentation de la sensation de soif.
Orientations étiologiques :
Description : diminution de la sensation de soif.
Orientations étiologiques :
Description : miction normale
Description : augmentation de la fréquence des mictions > 6/jour (= pollakiurie diurne) et/ou > 2/nuit (= pollakiurie nocturne = nocturie).
Explication physiopathologique : contraction vésicale inappropriée.
Orientations étiologiques : infection ( cystitecystite), obstacle infra-vésical ( adénome de prostateadénome de prostate ou tumeur prostatique malignetumeur prostatique maligne), tumeur ( tumeur vésicaletumeur vésicale ), irradiation (cystite radique).
Description : envie d’uriner alors que la vessie est vide.
Explication physiopathologique : contraction vésicale inappropriée.
Orientations étiologiques : vessie neurologiquevessie neurologique.
Description : miction impossible à retenir.
Explication physiopathologique : contraction vésicale inappropriée.
Orientations étiologiques : cystitecystite, adénome de prostateadénome de prostate, tumeur maligne de prostatetumeur maligne de prostate, tumeur vésicaletumeur vésicale.
Description : miction difficile, sensation de miction incomplète : nécessité de poussée abdominale, débit mictionnel faible, gouttes retardataires.
Explication physiopathologique : obstacle infra-vésical.
Orientations étiologiques : adénome de prostateadénome de prostate, tumeur maligne de prostatetumeur maligne de prostate, sténose de l’urètre.
Description : émission d’air en fin de miction.
Explication physiopathologique : présence d’air dans les urines, due à une fistule uro-digestive.
Orientations étiologiques : sigmoïditesigmoïdite, tumeur du sigmoïde ou du rectumtumeur du sigmoïde ou du rectum , chirurgie, maladies inflammatoires de l’intestinmaladies inflammatoires de l’intestin.
Description : fuites d’urines entre les mictions.
Caractéristiques :
Cas particulier : énurésie = nocturne, physiologique jusqu’à 2-3 ans.
Orientations étiologiques :
LibidoLibido érection/impuissance/stérilitéérection/impuissance/stérilité.
AEGAEG.
Poids et taillePoids et taille.
Description : mesure quantitative du volume d’urines excrétées en 24 heures : le patient doit conserver ses urines dans un bocal à diurèse gradué en mL depuis le matin au lever à 8 h 00, en excluant les urines de la 1re miction, jusqu’au lendemain matin à 8 h 00, en incluant les urines de la 1re miction.
Situation normale : N = 500-2 500 cc/24 h selon les apports (soit ? 200-300 cc/miction).
Situations pathologiques :
Cas particulier : noctiurie = polyurie nocturne (à objectiver par calendrier mictionnel) = volume uriné la nuit > 1/3 du volume uriné le jour par meilleure filtration rénale en position allongée que debout (sujet âgé).
Situation normale : urine claires, ambrées, légèrement teintées à cause de l’urobiline.
Situations pathologiques : les urines peuvent être :
Description : analyse semi-quantitative des urines par bandelette réactive (type Labstix ou Multistix).
Interprétation :
Examen de la cavité buccaleExamen de la cavité buccale.
Recherche une sécheresse des muqueuses (face interne des joues +++), évocatrice de déshydratation intracellulaire.
Œdèmes des membres inférieursŒdèmes des membres inférieurs.
Examen des Organes Génitaux Externes (OGE) masculinsExamen des Organes Génitaux Externes (OGE) masculins.
Verge Verge .
Dimensions :
Ecoulement urétral :
BoursesBourses.
Situation normale : scrotum plissé et bourses de volume comparable.
Situations pathologiques :
La transillumination permet de les différencier cliniquement : patient debout. L’examinateur applique le faisceau d’une lampe de poche en arrière du sac scrotal. Si la lumière traverse et diffuse à toute la bourse cela signe un contenu liquidien = hydrocèle. Si la bourse est opaque et le contenu est solide, cela oriente vers une origine tumorale, hémorragique (traumatisme) ou un épaississement de la vaginale (pachyvaginalite).
Examen des Organes Génitaux Externes (OGE) féminins Examen des Organes Génitaux Externes (OGE) féminins .
Rechercher anomalie de la trophicité (carence en œstrogènes) et prolapsus ± majoré à la toux : incontinence urinaire.
Caractères sexuels secondaires.
PilositéPilosité, graisse/muscle, voixgraisse/muscle, voix, gynécomastie.
Pli cutanéPli cutané.
Description : patient : en décubitus dorsal, genoux demi-fléchis, respirant calmement et profondément ; examinateur : du côté du rein à palper ; palper bimanuel : une main à plat sous la fosse lombaire, l’autre déprimant l’hypochondre.
Situation normale : reins non palpables (sauf parfois pôle inférieur du rein droit chez le sujet maigre) et fosse lombaire indolore.
Situation pathologique :
Description : 3 points urétéraux :
Situation normale : palpation indolore.
Situation pathologique : si douleur provoquée : atteinte de la portion correspondante de l’uretère (colique néphrétique).
Le point urétéral inférieur correspond aux touchers pelviens.
Description : palpation abdominale.
Situation normale : vessie non palpable.
Situation pathologique : vessie pleine = masse palpable hypogastrique à bord supérieur convexe (à confirmer par la percussion), dont la palpation est douloureuse et réveille l’envie d’uriner : rétention = globe vésicalglobe vésical.
Examen des OGE masculinsExamen des OGE masculins.
VergeVerge.
Situation normale : corps caverneux et gland normalement souples.
Situations pathologiques :
BoursesBourses.
Situation normale : 2 testicules palpables et indolores, surmontés chacun d’un épididyme séparé par un sillon palpable.
Situations pathologiques :
Examen des OGE fémininsExamen des OGE féminins.
Toucher rectalToucher rectal, toucher vaginaltoucher vaginal.
Situation normale : petite saillie à 2 cm au-dessus de la marge anale.
Rechercher une tumeur de la face postérieure de la vessietumeur de la face postérieure de la vessie.
Orifices herniairesOrifices herniaires.
Examen neurologiqueExamen neurologique.
Aires ganglionnairesAires ganglionnaires.
Description : patient : en décubitus dorsal, genoux demi-fléchis, respirant calmement et profondément ; examinateur : percussion abdominalepercussion abdominale.
Mesure de la PAMesure de la PA.
Souffle sur l’a. rénale (sténose ou anévrysme)Souffle sur l’a. rénale (sténose ou anévrysme).
Cystoscopie, urétérographie.
Protéinurie pathologique : > 300 mg/24 h.
ECBUECBU.
Indications :
Dosages hormonaux : rénine, aldostérone ; androgènesDosages hormonaux : rénine, aldostérone ; androgènes.
Explication physiopathologique :
L’eau représente 60 % du poids du corps, répartis en :
Explication physiopathologique : impossibilité complète de vidanger la vessie, d’origine obstructive (hypertrophie de prostate, calcul ou caillot, sténose urétrale), neurologique (centrale ou périphérique), traumatique (rupture de l’urètre).
Voussure hypogastriqueVoussure hypogastrique.
Matité sus-pubienneMatité sus-pubienne convexe vers le haut dont la percussion réveille l’envie d’uriner.
Explication physiopathologique : mise en tension brutale des voies excrétrices urinaires hautes en amont d’un obstacle.
Orientations étiologiques :
Infection appareil urinaireInfection appareil urinaire.
Entité biologique, s’accompagnant ou non de signes cliniques.
Explication physiopathologique : altération de la barrière de filtration glomérulaire (endothélium, membrane basale ou épithélium, charge électrique négative) qui, physiologiquement, empêche le passage des protéines de poids moléculaire > albumine (60 KD).
Définition
Examen des urinesExamen des urines : hématurie micro- (BU) ou macroscopique (inconstante).
Entité clinico-biologique, à expression variable selon l’évolution (aiguë ou chronique), l’étiologie et le degré d’atteinte histologique (authentifiée par la ponction biopsie rénale).
Explication physiopathologique : association à des degrés variables, selon l’étiologie, de :
Explication physiopathologique : atteinte du système vasculaire rénal. Définition :
Explication physiopathologique : baisse brutale et importante du débit de filtration glomérulaire, se traduisant par soit :
Elle est ou non associée à une altération de la diurèse.
Il en résulte une rétention azotée et des désordres hydroélectrolytiques.
Il faudra distinguer :
La démarche diagnostique est guidée par :
FièvreFièvre.
Altération de l’état généralAltération de l’état général.
Signes de chocSignes de choc.
PoidsPoids.
Antécédents uro-néphrologiquesAntécédents uro-néphrologiques (fonction rénale antérieure).
Facteurs de risque uro-néphrologiquesFacteurs de risque uro-néphrologiques : prise médicamenteuse ou injection de produit de contraste.
Pathologie extra-rénale évolutivePathologie extra-rénale évolutive.
Douleurs lombairesDouleurs lombaires.
Troubles mictionnelsTroubles mictionnels : pollakiurie, brûlures mictionnelles, dysurie.
DiurèseDiurèse.
Bandelette urinaireBandelette urinaire.
Téguments : sécheresse des muqueusessécheresse des muqueuses, marbrures, purpuramarbrures, purpura, autres lésions élémentaires.
Tégument : pli cutanépli cutané, œdème.
Palpation abdominale : globe vésicalglobe vésical, fosses lombairesfosses lombaires, points urétérauxpoints urétéraux.
Touchers pelviens ( TRTR, TVTV).
Cardio-pulmonaire.
Axes vasculaires : aorte, artères rénales.
Il faut compléter avec :
Surcharge volémique : œdème aigu pulmonaireœdème aigu pulmonaire.
Troubles hydroélectrolytiques Troubles hydroélectrolytiques : hyperkaliémie.
Acidose métabolique Acidose métabolique .