Arbre généalogiqueArbre généalogique.
HTAHTA, diabètediabète, maladie veineuse thrombo-emboliquemaladie veineuse thrombo-embolique,
Infectieux (VIH, hépatites B et C, syphilis, herpès).
Psychiatriques
Urologique, digestif ou vasculaire.
HTAHTA, diabètediabète, hypercholestérolémiehypercholestérolémie, artériopathie périphériqueartériopathie périphérique,
Maladie neurologique.
Psychiatriques.
Tumeurs de la prostateTumeurs de la prostate.
Eléments mis en jeu : corps érectiles (caverneux et spongieux) + vascularisation (artères caverneuses et veines) + innervation (motrice et neuro-végétative) + neuromédiateurs (NO) + muscles du périnée (bulbo et ischio-caverneux).
Brûlures mictionnellesBrûlures mictionnelles, dysuriedysurie, pollakiuriepollakiurie, incontinenceincontinence.
Troubles sphinctériens, troubles du transitTroubles sphinctériens, troubles du transit.
Troubles de la croissanceTroubles de la croissance, hypogonadisme hypogonadisme, hirsutismehirsutisme.
AEGAEG.
Patiente nue jusqu’à la ceinture, assise mains posées sur les hanches puis couchée, les mains le long du corps puis derrière la tête.
L’examinateur analyse les quadrants supéro-externe (QSE), interne (QSI), inféro-externe (QIE) et interne (QII) ; bilatéral et comparatif.
Recherche :
Description : en position gynécologique (décubitus dorsal, membres inférieurs en flexion abduction, genoux fléchis pieds posés dans des étriers, les fesses au bord de la table d’examen de manière à dégager l’accès au petit bassin).
Description : introduction douce et progressive du spéculum selon axe longitudinal de la vulve en prenant appui sur la fourchette postérieure jusqu’au 1/3 inférieur du vagin, rotation d’1/4 de tour, replaçant les valves du spéculum à l’horizontal, poursuivre l’introduction du spéculum jusqu’au fond du vagin, écarter les valves.
Augmentation anormale des seins : recherche gynécomastie
Anomalie cutanée (phymosis) Ecoulement uréthral
Ecoulements non sanglants provenant de la vulve, du vagin ou du col de l’utérus :
Patiente nue jusqu’à la ceinture, assise mains posées sur les hanches puis couchée, les mains le long du corps puis derrière la tête.
L’examinateur analyse les quadrants supéro-externe (QSE), interne (QSI), inféro-externe (QIE) et interne (QII) ; bilatéral et comparatif.
Palpation bimanuelle, du plat des doigts, quadrant par quadrant, sans oublier le prolongement axillaire, en appuyant le sein contre le gril costal ; recherche d’un écoulement mamelonaire systématique par pression des mamelons.
En cas de nodule préciser les 7 caractéristiques suivantes :
Description : patiente informée ; sur une table gynécologique ; vessie et rectum vides.
Attention : s’enquérir de la possibilité de virginité (hymen intact), examen impossible ou d’un vaginisme, examen prudent.
Examinateur : index et médius protégés par un doigtier stérile à usage unique. Le majeur est introduit en prenant appui sur la fourchette postérieure. Les doigts sont introduits dans le vagin selon un angle de 45° sur l’horizontale, avant-bras et coude dans le prolongement de la table d’examen. La main abdominale « ramène » vers les doigts vaginaux le contenu viscéral pelvien.
Apprécier successivement :
TRTR.
Indication : dépistage du cancer du col utérin, dès le début de l’activité sexuelle de la patiente : 2 frottis initiaux à 1 an d’intervalle puis 1 frottis tous les 3 ans si résultats normaux.
Technique :
Indication : dépistage du cancer du sein ; tous les 2 ans pour toutes les femmes de 50 à 75 ans si résultats normaux.
Technique : radiographie des seins selon 2 incidences (face et oblique externe) ; double lecture par 2 radiologues.
Interprétation : classification des images mammographiques :
4. Echographie mammaire (± ponction écho-guidée).
Indication : couplé au TRTR pour le dépistage du cancer de prostate (CP), chez l’homme de plus de 50 ans (si espérance de vie > 10 ans) ; 1 fois par an si résultats normaux.
Interprétation :
Attention : augmentation non spécifique : cancer, adénome prostatique, prostatite.
Incidence : 36 000 nouveaux cas/an (1er par ordre de fréquence chez la femme, 10% des Françaises).
Mortalité : 10 000 décès/an.
Dépistage : mammographie.
Attention : tout nodule mammaire chez une femme de > 30 ans = cancer du sein jusqu’à preuve histologique du contraire.
Hypogonadisme Hypogonadisme.
Hypogonadisme Hypogonadisme.
Epidémiologie :
Attention : toute masse testiculaire non douloureuse = cancer du testicule jusqu’à preuve histologique du contraire.
Facteurs de risque :
Hypertrophie Bénigne de la Prostate (HBP) : adéno-myo-fibrome, hyperplasie des cellules musculaires lisses, des fibroblastes et des glandes de la prostate péri-urétérale (zone de transition).
Facteurs favorisants : âge (75 % des hommes de 70 ans), stimulation androgénique.
Facteur de risque d’HBP : âge.
Antécédents de complications : infections, rétention aiguë d’urinerétention aiguë d’urine.
Echographie vésico-prostatique (sus-pubienne et endo-rectale) et rénale :
Epidémiologie : l’incidence est de 46/100 000 habitants. Il est le cancer urologique le plus fréquent et intéresse l’homme de plus de 50 ans.
Biopsie prostatique écho-guidée : au moins 5. Calcule du score de Gleason qui additionne les deux grades les plus élevés (2 à 10).
Attention : augmentation non spécifique : cancer, adénome prostatique, prostatite.
Hypogonadisme Hypogonadisme.
Attention : toute douleur scrotale aiguë unilatérale chez un adolescent ou un adulte jeune : torsion de cordon jusqu’à preuve chirurgicale du contraire.