Atypique :
Douleur thoracique localisée sans irradiation, ou limitée à ses irradiations.
Formes abdominales trompeuses : douleurs épigastriquesdouleurs épigastriques avec vomissementsvomissements, météorismemétéorisme, ou défense épigastriquedéfense épigastrique (le plus souvent IDM inférieurs).
Atypique : pesanteur, brûlure.
Classification de la Société canadienne de cardiologie :
Stade I : pour des efforts importants ou prolongés.
Stade II : limitation modérée de la vie courante (marche rapide, plusieurs étages).
Stade III : pour des efforts peu importants (un étage).
Stade IV : au moindre effort. Possible angor de repos.
Repos :
Au repos ou primodécubitus.
Spontanée.
Durée ≈ 5 à 15 min.
Prinzmetal :
Alternance de :
Parfois accompagné de palpitations (troubles du rythme ventriculaire graves).
Atypique :
Douleur thoracique localisée sans irradiation, ou limitée à ses irradiations.
Formes abdominales trompeuses : douleurs épigastriquesdouleurs épigastriques avec vomissementsvomissements, météorismemétéorisme, ou défense épigastriquedéfense épigastrique (le plus souvent IDM inférieurs).
Atypique : pesanteur, brûlure.
Violente puis persistante.
Spontanée, sans liaison avec un effort (au repos, la nuit).
Chez un homme > 35 ans ou une femme ménopausée.
Installation brutale et inopinée ou précédée par un angor instable ou chez un angineux connu.
Durée prolongée (plusieurs heures).
Accompagnée d’agitation, malaise général (jusqu’à état de choc), signes digestifs.
Atypique : totalement muette, découverte à l’ECG ( diabètediabète , alcoolalcool,sujet âgé).
Siège : strictement thoracique, parfois migratoire, traçant, suit le trajet de l’aorte.
Irradiations : dorsales (++).
Violente.
Chez un sujet hypertendu.
Asymétrie des pouls (présents aux membres sup., absents aux membres inf.).
Siège : médiothoracique, rétrosternal.
Peu d’irradiations.
Sans liaison avec un effort.
Durée prolongée (jusqu’à plusieurs jours).
Augmentée par la toux et l’inspiration profonde, et aussi le changement de position (diminue penché en avant, augmente en décubitus dorsal).
Chez un sujet jeune, sans facteur de risque coronaire.
Accompagnée de fièvre, frottement péricardique (auscultation), cardiomégalie (radio thorax).
Siège : basi-thoracique.
Brutale, d’emblée maximale.
Puis permamente, exagérée par les mouvements respiratoires.
Accompagnée de polypnée superficielle avec cyanose, toux douloureuse avec crachats mousseux, tachycardie.
Rechercher des signes de thrombose veineuse profonde des membres inférieurs.
Tous les autres organes inclus dans le thorax ainsi que les divers éléments anatomiques de la paroi thoracique et les organes avoisinant le thorax peuvent être à l’origine d’une douleur thoracique. Aussi, il ne faut pas oublier les diagnostics différentiels :
précordialgies des sujets neurotoniques : de siège mammaire ou sous mammaire, localisées, punctiformes, en coup d’épingle ou de poignard, n’irradiant pas, de durée variable, souvent chez un sujet jeune ou chez une femme.
douleurs intercostales ou costales, ou myalgies du grand pectoral : souvent localisées, avec parfois point douloureux exquis, exagéré ou déclenché par les mouvements ou la respiration profonde.
douleurs viscérales non cardio-vasculaires d’origine pleuro-pulmonairepleuro-pulmonaire, œsophagienneœsophagienne, gastriquegastrique, vésiculairevésiculaire, pancréatiquepancréatique, hépatiquehépatique.