Blancs.
Mous, prenant le godet (gardent quelque temps l’empreinte du doigt) au niveau des chevilles (œdème superficiel) mais plus durs, ne prenant pas le godet au niveau des mollets (œdème profond sous-aponévrotique).
Indolores mais peuvent être ± douloureux en pré-tibial si godet ferme.
Avec ± troubles trophiques cutanés ( angiodermiteangiodermite, hypodermite, ulcèresulcères) si chronicité.
Absents ou diminués le matin, aggravés avec la journée.
Favorisés par la position debout prolongée ; améliorés par l’exercice, le repos jambes surélevées, le port de bas de contention.
Parfois accompagnés de fatigue ou de sensibilité aux jambes.
Motif de consultation = souvent esthétique.
Plus fréquents chez les femmes (grossesses). Prédisposition familiale.
Déclives, mobiles et symétriques : membres inférieurs, uni- ou bilatéral, distaux.
Blancs.
Mous, prenant le godet ou signe du drap (équivalent du signe du godet : empreinte des draps au niveau des lombes).
Indolores.
Signes associés selon l’étiologie :
Cardiaque :
hypertension artérielle, insuffisance cardiaque droite ou globale.
Rénale : protéinurie protéinurie, oligurie oligurie, insuffisance rénale insuffisance rénale.
Digestive : amaigrissementamaigrissement, troubles du transittroubles du transit.
Hépatique : insuffisance hépato-cellulaire,hypertension portaleinsuffisance hépato-cellulaire,hypertension portale.
Déclives, mobiles et symétriques : membres inférieurs en position debout, lombes chez le sujet alité, paupières, thorax.
A chiffrer par la prise de poids.
Variable :
De la simple infiltration (chevilles, bouffissure des paupières)…
… à l’anasarque (déformation caractéristique du visage, épanchements des séreuses).
Rouges.
Chauds, rénitents.
Sensibles ou douloureux.
Rapide, brutale.
Contexte réactionnel : traumatique ou inflammatoire.
Localisés au site inflammatoire, plus ou moins étendus (ex. : érythème noueux érythème noueux, phlébite phlébite).
Fixes, non déclives.
Blancs.
Froids, durs (avec un épaississement fibreux du derme).
Indolores.
Liés à un blocage primitif (hypoplasie, aplasie ou hyperplasie) ou secondaire (néoplasie, infection (filariose), radiothérapie, chirurgie) du réseau lymphatique superficiel ou profond.
Localisés à un membre, sur un territoire plus ou moins étendu.
Fixes, persistants malgré le décubitus.