Cf. appareil digestif ASP.
Couvre tout l’arbre urinaire.
Peu sensible et peu spécifique (superpositions gazeuses).
Colique néphrétique.
Pyélonéphrite aiguë Pyélonéphrite aiguë (calcul radio-opaque).
Lithiase coralliforme à l’ASP
ASP + iode IV (filtrée et sécrétée par les reins puis excrétée dans les voies urinaires).
1. Clichés précoces (1, 3, 10, 20 min après injection) : centrés sur le haut appareil et sur la vessie.
2. Clichés tardifs : si retard d’excrétion (jusqu’à 48 h après injection).
3. Etude mictionnelle : étude de l’urètre, de la vessie en dynamique.
Etude morphologique et fonctionnelle des reins et des voies urinaires.
CI à l’iode IV : allergie à l’iode myélomemyélome, biguanides, insuffisance rénaleinsuffisance rénale, insuffisance cardiaque congestiveinsuffisance cardiaque congestive.
Interprétation conditionnée par la qualité de la préparation digestive (superpositions gazeuses).
HématurieHématurie.
DysurieDysurie non prostatique (clichés pré-, per- et post-mictionnels).
Infection urinaireInfection urinaire chez homme.
CystiteCystite récidivante chez jeune femme.
Tumeur de vessieTumeur de vessie
.
Avantages
Exploration des cavités du haut appareil (bassinet, uretère).
Limites
En salle d’opération.
Nécessite la mise en place d’une sonde urétérale (acte urologique).
Indications
Pathologies du haut appareil urinaire.
Avantages
Etude de la vessie en remplissage et lors de l’évacuation mictionnelle, la vessie et l’urètre.
Limites
Nécessite la mise en place d’une sonde vésicale ou d’une sonde urétrale.
Indications
Exploration des cavités du bas appareil (vessie, urètre).
Limites
Nécessite la mise en place d’un cathéter sus-pubien.
Indications
Exploration des cavités du bas appareil (vessie, urètre).
Transpariétale : cf. appareil digestif.
Voie endo-rectale.
Disponibilité, faible coût.
Pas de CI.
Non invasif.
Non irradiant.
Opérateur dépendant.
1. Insuffisance rénale aiguë ou chroniqueInsuffisance rénale aiguë ou chronique.
2. Voies urinaires (dilatation des cavités pyélo-calicielles) : colique néphrétiquecolique néphrétique (urgence).
3. Reins (taille et structure) : pyélonéphritepyélonéphrite (abcès), kyste ou tumeurtumeur.
4. Vaisseaux rénaux : hypertension artériellehypertension artérielle (sténose de l’artère rénale).
5. Organes génitaux :
Testicules.
Prostate (voie endo-rectale) : hypertrophiehypertrophie, tumeurtumeur.
6. Ponction biopsie rénale échoguidée.
Evaluation par tranches successives de l’atténuation des rayons X -> « densité » des structures anatomiques (référence = eau).
Coupes axiales ± reconstruction dans d’autres plans ou 3D.
± Iode IV -> « réhaussement » si prise de contraste.
Précision anatomique.
Peu performant dans l’étude de la voie excrétrice, hormis les reconstitutions 3D des scanners spiralés.
1. CancérologieCancérologie : rein, surrénales, vessie, testicules, prostate.
2. Traumatisme rénal.
3. Infection : pyélonéphritepyélonéphrite (abcès).
4. Radiologie interventionnelle.
Différence des temps de relaxation (T1 et T2) des protons H+ -> « intensité » du signal.
Coupes dans tous les plans ± reconstruction 3D.
± Gadolinium IV -> « réhaussement » si prise de contraste.
Séquences anatomiques, visualisations des voies urinaires et des vaisseaux sans injection de produit de contraste.
CI à l’IRM : pace-maker, clip neuro-vasculaire.
Examen difficile : patient de réanimation, claustrophobe, obèse.
CI au gadolinium IV : insuffisance rénale terminale.
Alternative au scanner (en développement) :
1. Explorations vasculaires.
2. Tumeurs kystiques du rein.
3. Bilan d’extension des tumeurs malignes de prostateBilan d’extension des tumeurs malignes de prostate.